Table d'Alcibiade

Tholios amena à boire à Alcibiade et dit

Mon ami que me vaut ta visite?

Autant à l'ecclesia ou à la Boulé il reste froid et sérieux, autant ici il n'hésite pas à rire et à s'amuser. Curieux devant cette quasi légende il vient s'assoir

Alors ainsi le Grand Alcibiade est à Athènes, j'ai hate d'entendre ton histoire, peut être pourrais je en faire une tragédie. Mais vu aussi ta réputation se sera peut être une comédie.

sourit

Merci Alcibiade.

Gène toi pas ici tu peut tout raconter,tu n'est pas dans une assemblée puis Praxitèle veut t'écouter.

Tholios sert à boire à ce dernier

Praxitèle je pense qu'avec toi et Xénos la boulé va bien aller

A la remarque de Tholios, il reprends quelques instants son air sérieux

Normalement si la Boulé faisiait correctement son travail jamais tu n'aurais fait cette remarque. Alors je vais faire en sorte qu'elle ne soit plus faites.

S'incline

Je vois que Clio te guide encore.
Les femmes dont tu me parles ne pourront jamais sortir dans mes pièces. La description que tu en as faites est trop parfaite pour que j'ose les réprésenter dans un théatre. Même moi, choisit par Melpomène pour pratiquer son Noble Art ne le peut. J'aurais peur de ne représenter qu'une vague ombre de ce qu'elles sont.

La tête de Solon, au fond de l'auberge, se lève lorsqu'il entend prononcer son nom. Il regarde autour de lui plusieurs fois, l'air curieux, avant de se rendre compte que celui qui l'a prononcé est de dos. Il se lève cependant car sa silhouette lui est bizarrement familière...Il s'avance vers lui, son verre de vin à la main, et s'assoit nonchalamment à une table vide proche de l'individu, ce qui lui permet de l'observer furtivement. Après quelques fronçements de sourcils il se rend compte qu'il ne rêve pas, c'est bien Alcibiade !
Décidant de l'accueillir comme il se doit, il se lève et rejoint la table où se trouve déjà Praxitèle, et ouvre les bras comme pour mieux accueillir l'ancien magistrat :

- Alcibiade ! Comme je suis heureux de te revoir ! Tu as finalement décidé de revenir ! Bonne nouvelle ! Pour moi et pour la cité !

La porte de l’auberge s’ouvrit brusquement.

Alors, un étranger, vêtu à la manière d’un hoplite, s’avança.

Tel Ulysse, le héros d’endurance, l’étranger portait une barbe noire. Il était trapu et de constitution robuste. Ses puissants muscles semblaient sculpté dans du marbre blanc Pentélique.

Une cuirasse faite de plusieurs couche de lin, un casque, des jambières, un bouclier et une courte épée complétait son équipement.

Aubergiste du vin…

Un chien hargneux vint s’asseoir près de son maître. Il se mit à grogner contre les autres clients de l’auberge.

Silence Cerbère… couchez !

Honneur à Zeus tout puissant.

A Alcibiade :

-Pas de problème...

S'assied

Tu te rappelles de notre chasse au lion ? C'était le bon temps !

L’hégémonie pour Athènes

Aux dieux…

Et à la démocratie…

Ictinos vida sa coupe de vin.

Alcibiade, hérault de l’Olympe, plusieurs années se sont écoulés depuis notre dernière rencontre, mais je vois qu’Athènes parle toujours par ta bouche.

Non, je n’ai pas échappé aux enfers et ce chien n’est pas celui que tu as connu. Cerbère est mort. Il s’agit donc de sa deuxième tête puisque le chien effrayant, gardien du monde souterrain, a trois têtes.

Durant ces années passées loin d’Athènes, j’ai vécu de nombreuses aventures qui seraient très longues à raconter et qui même pourraient sembler incroyable à plusieurs d’entre vous.

Je vois également que peu de choses ont changé à Athènes. Les dieux y sont encore honorés comme il se doit. Les murs que j’ai construit sont encore debout. La démocratie est encore florissante bien que stagnante.

Ictinos se tourna alors vers Solon.

Ah ! Solon, Solon, nous autres Athéniens, nous sommes des enfants et il n’y a pas de veillards à Athènes.

J’arrive d’une terre qui fut le berceau de notre civilisation. Les hommes illustres qui l’habitent pratique une vraie démocratie. Tous les hommes et les femmes y sont égaux et jouissent des mêmes droits.

Cette terre est riche en métaux précieux, en forêt, en animaux sauvages et domestiques, en fruits et légumes variés et succulents.

Sur l’acropole de la ville principale on y retrouve les temples d’Athéna et d’Héphaistos.

Comme pour Athènes, ce pays prodigieux tire son nom de la déesse de la sagesse. Il se nomme Atlantide.

Ainsi, les Atlantes pourraient donné des leçons de démocratie et d’hégémonie aux Athéniens.

Honneur à Apollon le plus beau des dieux.

Fronce les sourcils

Atlantide ? Qu'est-ce donc ? Un royaume de Grèce ?

L’Atlantide est une île et je suis le seul à connaître son emplacement.

Cette civilisation bien que très ancienne, plus de 10 000 ans d’âge, est aujourd’hui connu par quelques initiés uniquement, dont les prêtres égyptiens de la ville de Saïs.

Ictinos fit signe à Tholios.

Aubergiste, est-ce que tu as une chambre de disponibles pour quelque jours. Je dois vérifier si ma maison est toujours habitable.

Grand yeux d'étonnement

Alors Atlantide excisterait, ce n'est pas une légende? j'en avais déjà entendu vaguement parler mais je ne savais pas qu'elle était vraiment réel.
Il faut absolument que vous me parliez d'eux. Peut être en ferais je une pièce si ce que l'on dit sur eux et vrai.

Athènes parle par ma bouche? Je ne sais pas.... Je n'ai pas ce genre de prétention maintenant. Je cherche une voie plus simple... Je parle seulement en mon nom.

Mais je suis d'accord nous sommes tous des enfants... je n'aimerais pas être un vieillard aussi ennuyant que le vieil Hippocrate!

Salut à toi ô Ictinos. Il semble que les dieux soient toujours avec toi...

L'Atlantide?

Alcibiade sourit.

Voila un récit qui serait intéressant à écouter sans doute... J'ai aussi un récit à raconter.

Mes amis se demandent ce que j'ai fait ces dernières années. Et cette question est louable. Et mon histoire cache quelques craintes que je dois faire part aux Athéniens.

Je débute donc...

Hors donc en l'An 16. J'étais dépités entre ce conflit fracticide de Démocrates et de Royalistes. Pour moi les Athéniens n'ont pas à se diviser ainsi, et c'est avec honte et peine que je voyais le sang des Athéniens se verser pour des disputes absurdes.

Je tentais de raissoner les Athéniens ,en prônant la fraternité, l'ordre et le respect entre nous, mais seul le Roi Cimon comprit peut-être mon message, cet homme fut toujours une énigme, et je prétend que le destin fut dur envers lui, et qu'il ne souhaitait pas tout cela, et qu'il avait une grande fierté et beaucoup d'honneur envers les Athéniens.

Décu je décidai de quitter la cité avec ma nouvelle fiancée Élissa. Une femme charmante d'esprit et de corps, qui ne me fut pas regretter ma décision de quitter Athènes.

Je voulais me rendre à Sparte, là bas j'y est une villa, et quelques amis, que je me fit lors de ma jeunesse ou ma famille étant en exil sous l'ordre du Tyran Hippias. J'ai grandi permis les Lacémémoniens et apprit d'eux l'honneur, le courage et la maitrise des armes. Les jeunes filles qui chantaient me nommaient Achille et les hommes étaient pour moi des frères.

Mais les relations entre Athènes et Spartes étaient fort instable, et un amis vint à ma rencontre et me fit comprendre qu'à Sparte je serais en danger à cause de mon amitié envers les Athéniens. Et que le temps n'était pas approprié pour moi de retrouver la bas. Si j'aurais été seul j'aurais sans doute risquer l'aventure, mais je désirai protéger ma campagne de tout ces danger.

Je me rendit donc à Orôpos, petite cité fort tranquille et agréable. L'une de mes maîtresse, la tumulteuse Hécate était native de cette cité, j'y trouvai donc une famille pour me loger. Les dirigants et les habitants de la cité me firent bon acceuil et m'invitèrent à demeurer permis eux et à porter leur armes et les couleur de leur cité. Mais Orôpos était trop près d'Athènes pour moi, j'avais d'autre plans en tête.

Car j'avais un ami en Eubée de longue date. Nul autre que le Roi Prosarès lui même. Du moins je le croyais mon ami, et un homme sensée... donc j'avais un peu aidé à accéder à la succesion de son père comme roi.

Je débarquais à Chalcis et mon ami vint à ma rencontre et m'invita moi et Élissa à loger dans son somptueux palais, ou nous furent inviter à des grandes fêtes. Nous sacrifiâmes aux dieux, et nous étions heureux, le Roi Prosarès aimait mon goût du luxe, mes conseils et mes aventures, et il était fidèle à son amitié.

Mais je n'étais pas aveugle... je parcourais la cité et l'ile d'Eubée, un véritable paradis, ou Démeter planta les oliviers et la vigne. Mais les milices armés de Prosarès, armés par l'or Perse, persécutait le peuple de l'ancien royaume de son père... Prosarès vivait en tyran. Les gens le détestaient pour sa dureté et son alliance contre les grecs avec la Perse. Ses impôts étaient injustes et ses soldats pillards.

Je ne pouvais vivre au côté d'un homme pareil, je le savais. Sa conduite me dégoutait, et bien qu'il était mon ami, je ne pouvais cautionner sa brutalité envers ses propres gens. Aussi je craignais une révolte du peuple, et que dans la tourmente je fut associé au Roi, ma vie aurait alors en danger. Je tournai donc mon regard dans une autre direction...

Un direction plus glorieuse. L'Asie. L'Ionie! Là ou se trouvent d'anciennes et puissantes cités Hellènes. Bien que sous domination Perses, ces cités étaient toujours impressionnantes. Je trouvai un marchand qui voulut bien, m'amener moi et Élissa dans son navire, jusqu'à Milet.

Milet... j'avais autrefois tenter de pousser les Athéniens à se rapprocher de cette cité et tenter d'établir quelques projets politiques et de contacts. Car de nombreux gens là bas sont fort insatisfait, du gouvernement de la Satrapie mis en place par le Grand Roi Darius et du Tyranquis avait mis en place à Milet. Et nous les Athéniens nous sommes leur amis, et nos ancêtres avaient un passé commun avec les gens de l'Ionie. Milet aida aussi les partisans démocrates de Clisthène à établir la 1er démocratie.

Je renouais facilement avec mes vieux contacts. À force de Réthorique, de Charme, de ma Réputation et d'Habilité je parvint à m'établir permis les grands hommes de la cité de Milet, et de l'opposition démocrate. Certains m'accusèrent de Despotes, à cause de mes anciennes positions autour du Roi Cimon et le Roi Prosarès, mais je les fit taire brillament, et j'écartais mes adversaires. Les citoyens de Milet furent content de m'acceuillir. J'étais donc à la cour du Tyran de Milet...

Je m'installa dans une luxueuse villa dans quelques quartiers riches. Réunissant autour de moi les mêmes atours qui ont fait ma popularité à Athènes, vin, femmes, arts, sports et fêtes. Ma compagne était ravie et sa beauté appréciée de tous.

Hélas la guerre avait été déclarer. Les Armées Perses s'apprêtaient à marcher contre l'Égypte! Le Grand Roi exigea du Tyran de Milet et des autres cités, l'envoi de contigents Hoplites Ioniens pour sa campagne. Les ordres du Grand Roi n'était pas discutable. Milet dut se plier.

Le Satrape lui même vint à Milet exiger cet infâme tribut! Son fils, Trassiphèle, avait été nommé Général par le Roi des Rois. Le Satrape était gonflé d'orgeuil. Mais aussi de crainte. Il craignait les habiles archers Égyptiens et leur dieux anciens et puissants. Le Satrape était très riche mais sa plus grande richesse était son fils. Pour qui il craignait. Je me rendis donc auprès de lui, et lui proposâme mon bouclier pour accompagner son fils. Je voulais participer à cette guerre.

Le Satrape en fut ravis, et son fils honorer de mon amitié. Je rejoins donc l'armée Perse en tant qu'officier du contingent de Milet. Trassiphèle en vint à m'apprécier rapidement, je lui présentâmes des jeunes hommes et des jeunes filles, qui lui firent comprendre que j'étais un homme capable de bien m'occuper d'un Général Perse....

Je put donc embarquer à bord du navire amiral du Général, accompagné du Navarque d'Ionie. Une grande flotte s'était réunis. De Phénécie s'était joint aux Hèllenes de nombreux navires, et des bateaux aussi venus d'Eubée de mon "ami" Prosarès, d'autres de Naxos.

La flotte de cette formidable expédition commandé par l'orgueil et le désir de conquête du Roi des Rois, mis alors voile pour l'Égypte...

Après quelques semaines la flotte atteint les côtes d'Égypte et de Palestine. L'Armée venus d'Ionie débarqua dans quelque petite rade.

L'Armée d'Ionie à elle seule était une forte importante. Des nombreuses phalanges s’étendaient à travers le désert, escortées par des bataillons de cavaliers et suivis de nombreuses compagnies d’archers .Quelle fut ma surprise apres trois jour de marche dans le désert...nous rejoignirent une autre armée. Aussi puissante que la nôtre. Elle était composée de de nombreux archers syriens, de cavaliers d'Asie et de lanciers Phéniciens et Israëlites.

Je fut alors impressionné , si j'avais eut quelques craintes à l'idées de marcher contre l'Égypte elles étaient maintenant dissipé. Mais nous avons repris rapidement la route... Pour nous diriger au Camp du Grand Roi!

Par Zeus! Par Athéna! Nous venions de rejoindre l'armée du Grand Roi des Roi. Ce que nous avions vu n'était qu'une de ces armées.... Je m'écroulai alors... la peur me saissisait le ventre, devant tant de puissance, et lorsque je repris connaissance je ne put qu'affirmer une chose.

Le Rois des Rois, Darius, est un Dieu! Je l'affirme maintenant sans crainte. Je me sais favori d'Athéna, et mes ancêtres sont mes héros. Mais Darius lui est un Dieu...

Le campement perse était en fait composé de cinq camp de tentes différents. Quatre camps pour les quatre armées appelées par Darius et le campement central pour le Roi des rois et ses troupes d’élites et généraux; Les Immortels. Chaque campement représentait au moins la moitié de la cité d’Athènes en taille et celui du Roi des rois était même plus grand que la cité d'Athènes. Les troupes étaient littéralement innombrables, Je voyait défiler de véritables cohortes de lanciers perses, d’archers et de cavaliers en plus grand nombre encore que l’armée que Darius avait réuni pour attaquer la Thrace et la Grèce. Le Roi des rois trônait sur une dune de sable, entouré de sa cour et de sa garde royale tandis que les troupes défilaient inlassablement devant lui pour aller ensuite prendre leurs quartiers dans leurs tentes.

Les troupes d'Ionie défilèrent aussi, et nous présentèrent nos hommages au Grand Roi. Un mélange de honte et d'admiration me saissisait. Cet homme, ce Dieu, était mon ennemi, l'ennemi de la Grèce...et j'étais maintenant à ses cotés dans une guerre injuste. Mais je n'étais qu'un simple homme... avoir un dieu comme ennemi n'est pas une chose concevable. Il n'y avait rien à faire...

La Campagne allait maintenant débuter. Je ne m'étendrais pas sur toutes les batailles, et les mouvements des armées, les exploits des héros et les sacrifices rendus aux dieux. Je restait avec l'Armée Ionnienne. Essayant de ne pas me faire remarquer des Perses... je les détestaient. Je dut néanmoins me battre, afin d'honorer ma parole envers le Satrape de Lydie et de protéger son fils. Je trempit mon épée du sang Égyptien... l'ivresse des batailles me prit...cela est si facile...car nous allions de victoire en victoire, le butin grandissait incroyablement, rien n'arrêtait l'armée Perse.

Nous étions proche du Nil. La guerre finissait. Il n'était plus possible maintenant pour les Égyptiens de gagner... Alors il arriva un évènement important. Ceci est le point le plus capitale de mon récit.

Une ambassade était arrivé dans le camp. Une ambassade venus de Carthage. Cela m'intrigua... grâce à mon amité avec le Général de l'Armée d'Ionie, je réussi à le convaincre d'assister à l'entrevue des envoyés de Carthage auprès de Darius.

Les Puniques avaient amenés beaucoups de cadeaux. De grande richesse. Ils les présentèrent au Grand Roi, mais tout cela semblait désiroire pour un homme à qui le monde appartient donc le trône est fait d'or... Une discussion plus importante s'en suivit...

Carthage voulait punir la Cyrénaïque pour une sombre affaire de prêt et de diplomatie mais la grande cité punique ne voulait pas s’aventurer ainsi dans le désert sans prendre l’avis du Roi des rois lui-même et s’assurer de la tranquillité des frontières communes entre l’Egypte et la Cyrénaïque, frontières qui avaient vocation à devenir perses et carthaginoises.

L’ambassadeur carthaginois qui s’était présenté comme le frère du primarque de Carthage lui-même, et descendant des rois de Tyr et de Sidon en Phénicie, avait proposé l’aide de son pays contre l’Egypte qui avait également des dettes envers Carthage mais Darius avait refusé cette aide inutile et avait même été jusqu’à garantir le paiement des dettes égyptiennes aux carthaginois. Lui-même proposa son aide aux puniques contre la Cyrénaïque mais cet échange de bons procédés provoqua la même réponse, Carthage se débrouillerait bien sans les perses.

Surélevé par rapport aux ambassadeurs carthaginois, Darius était calme et sur de lui. Il connaissait très bien son empire et l’Egypte, il connaissait aussi Carthage et les affaires du monde apparemment. De plus, il se trouvait que l’actuel Roi de Phénicie, parent éloigné de l’ambassadeur donc, était un des généraux de Darius et le satrape de Phénicie … Darius dominait donc la conversation mais il ne paraissait ni supérieur ni méprisant au contraire faisait-il preuve de générosité auprès des carthaginois.

Je fut très étonné d’entendre Darius proposer aux carthaginois un accès indéfini à tous les ports et à toutes les cités de perses pour leurs marchands. Darius leur proposa même sa protection dans ses terres et le droit de mouillage pour les flottilles carthaginoises qui était prêt à accepter la même chose en retour...

Cela s’annonçait mal pour l’avenir et la conversation dériva sur un sujet que je craignait beaucoup et que je commencait à comprendre : l’alliance entre Carthage et la Perse … Abordé, le sujet ne fut pas approfondi particulièremnt par le Roi qui invita les ambassadeurs à le rencontrer plus tard à ce sujet mais je perçut dans les paroles des uns et des autres la volonté commune de rapprocher la Perse et Carthage …

L'on parla d'une futur négociation... que le Grand Roi ne pourrait accepter de trop s'unir avec Carthage à n'importe qu'elle condition. Il souhaitait des garentis. Et que le Primarque Punique s'engage lui même, et qu'il envoit en mariage un membre de sa famille... alors Darius considérerait de faire de ses propositions des réalités...

Darius en point ressemble beaucoup à nous, pour lui une alliance passe par une entente familiale, les mots ,la politique sont une choses, mais qui ne peut être honorer que par le sang et l'honneur...

Les Puniques se retirèrent tout en promettant de transmettre à Carthage les propositions du Grand Roi et de considérer l'envoi d'une fille de Carthage

Je compris alors , enfin je ne puis en être sur... mais Darius, semble vouloir obtenir l'aide des Puniques, particulièrement de leur flottes, et en cela n'importe qui ici ,n'importe quel Grec LIBRE de bon sens peut bien voir une seule chose,

Après l'Égypte, il souhaite reprendre le conflits avec la Grèce, il souhaite l'aide Phénicienne sans doute dans ce dessein...

J'avais que trop perdu de temps désormai! Je ne pouvais continuer à porter l'armure Perse. Je la jettâmes dans le sable, je donnai quelques ordres pour régler diverses affaires, et j'envoyâ des messager à Milet, et quelques jours plus tard je put trouver un navire qui allait vers l'Attique et la Grèce... avec moi , un de mes nouveaux "esclave" Égyptien comme seul compagnon...

Je débarqua à Sounion, je pus emprunter un cheval, et atteindre Athènes, je courru jusqu'à la Taverne de mon Bon ami Tholios, ou fatigué je m'assis sur une chaise et Tholios me servit à boire et me présenta son fils, ensuite le vin me poussa vers le sommeil, je dormis plusieurs jours... et maintenant je suis ici à cette table avec vous.

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Merci à Poséidon pour cet incroyable RP.

estomaquer par le récit de son compagnon d'arme des premiers jours, tyndare termine sa choppe.
frappe les deux mains sur la table bruyament et retorque

je ne vais pas rester là une minute de plus nous avons assez perdu de temps comme ca.
il est temps qu'ATHENES regarde plus loin que le bout de son nez..

Le récit d'Alcibiade, qui au départ l'avait fait fort rire, avait fini par glacer le sang de Solon

-C'est une horrible perspective que tu nous rapportes là...Tu es sûr de tes estimations ? Que nous sommes les prochains sur la liste ?