Allocutions de l'ambassadeur de Prosérès

Hippocrate sort de la foule pour aller vers les gardes qui discutaient (cf poséidon)

Gardes, je en suis pas stratège, mais garant des citoyens, de tous. Executez mes ordres, je serais tenu pour unique responsable, vous avez ma parole.
/ferme/
• Séparez les deux camps
• désarmez les hommes armés
• attrapez Zoroastre et mettez le en cellule, je l'arête pour trouble de l'ordre public.
• Eloignez Prosérès en lui précisant que c'est pour sa sécurité. Racompagnez le a sa demeure, et consignez le.
/moitre deux gardes/
toi et toi, allez cherchez du renfort, transmettez les ordres.

Je ne veux aucun mort.

edit: pour faute de syntaxe.

Rassuré de voir qu'enfin ceux qui en ont le pouvoir interviennent et prennent les bonnes décision, Solon respire. Puis il s'adresse à Hippocrate :

-Sache que je te soutiens. Espérons néanmoins que l'emprisonnement de Zoroastre ne mette pas le feu aux poudres...

HJ: je parle au gardes, et on peut facilement deviner qu'il y a beaucoup de bruit sur la place. Vu que les gardes sont a l'écart, vous ne pouvez pas entendre ce que je dis... respectez un peu les rps svp.

hj: Pour ma part j'ai juste dit qu'il te voyait et connaissant ton perso le miens sais environ se qu'il dit.

Ajax arrive enfin, quelque métèques l'accompagnent, quand il réalise ce qui se passe il monte vite sur le podium à son tour pour se faire entendre.

Elle est belle notre démocratie n'est-ce pas? Regarder notre archonte essayez de taire ses frères alors qu'ils ne commencent qu'à se faire entendre! Ton père n'aurais jamais permis une chose comme ça Hippocrate, on vois que tu ne vient pas du même moule.

Vous voyez enfin ce que je me tue à vous dire depuis des années chers frères! Nous sommes gouvernés par des une boulée incompétente et sourde à nos paroles par une poignés d'homme avares aux mains crochues!

Nous devont venir en aide a Prosérès et au peuple d'eubée, qu'avons nous a y gagné? Un peuple ami et loyal, des associés de commerce, des alliés dans la guerre. En même temps nous montrerons a tous les peuples Achéens que nous sommes une cité dominante qui peuvent les aider ou qui peuvent les faire tomber, nous montrerons a la Perse qu'il n'y a pas qu'eux qui jouent des rôles dans le destin des états grecs mais que tous nos cousins achéens peuvent se tourner vers nous et y trouver de l'aide contre eux!

Je le répète encore une fois, qu'elle est belle notre démocratie quand un dirigeant essaye de faire taire un de ses frères qui exprime ses pensées, ne permettons pas cela! Deux moyens s'o9ffre à nous, nous pouvons allez tous ensembe a l'ecclesia et voté un décrèt qui empĉhera Zoroastre de se faire emprisonnée, ou nous pouvons nous insurgée, je vous laisse décider et ensuite je vous aiderez!

Zoroastre attrape un des ses sympathisants au passage, et lui remet un papier griffoné à la hâte; l'homme se hâte, porteur du message. Il jette un coup d'oeil à Ajax, puis regarde les gardes qui s'avance vers lui avec son sourire qui s'est fait étrangement sardonique. Il souffle, moitié riant :

Bah! Voilà qu'on met à l'ombre le représentant de la justice d'Athènes! C'est la meilleure.

/Aristarque quitta la place pour se rendre dans sa demeure, il était inquiet pour sa petite famille. La revolte grondait. /
"Deukelos (sa femme) je te recommande de partir pour la périphérie dans la demeure d'Egysthe, au milieu de nos terres. Tu y sera plus en sécurité et puis personnelement je me sentirais plus libre de mes actions"
/Après de bref embrassade, il vit sa femme et sa fille quitter la cité escorté par ses deux esclaves./
"Bien, à présent, il est temps de faire quelque chose d'utile"
/Aristarque claqua ses doights, grimpa sur sa monture noir d'ébène, cachant une épé courte dans ses vetements.
Aristarque se lança au galop après avoir vérifié que sa demeure était bien vérouillée./

La foule des partisans d'Ajax et de Zoroastre accueille la proposition d'Artos avec des insultes et des menaces

- Viens ici, premier stratège, on va te montrer comme nous sommes de bons soldats !

- Vendus à la solde des tyrans ! Tu seras pendu haut et court espèce de traître !

- Tu te trompes de camp Artos, la démocratie est dans la rue, pas à la Boulé !

Mais ses propres partisans et ceux de Pirus répondent aussi

- Non Artos, nous ne partirons pas ! Il faut protéger l'Ecclésia et la Boulé !

- C'est l'heure de prouver ta loyauté à Athènes, Premier Stratège ! Fais intervenir l'armée !

Le chef des gardes répond à Hippocrate

HJ : Seuls ceux qui sont proches d'Hippocrate peuvent entendre ces paroles. Ce dernier n'étant pas sur le podium, tout ceux qui ont discourus ne peuvent entendre.

Archonte Hippocrate, te voila !
Nous ne sommes qu'une cinquantaine, j'ai bien peur que nous ne puissions contenir le peuple. Surtout si la situation s'envenime encore ! Des gens ont armés la foule, c'est à croire que ça a été préparé !
Mais j'envoie deux hommes arrêter Zoroastre.

Deux gardes essaient de fendre la foule pour arrêter Zoroastre mais on peut aisément lire sur leur visage qu'ils sont assez effrayés. Jetant des regards alentour, ils s'approchent de lui et disent :

Héliaste Zoroastre, par ordre de l'Archonte Hippocrate, tu es en état d'arrestation pour trouble de l'ordre public et incitation à la révolte. Suis nous s'il te plait et ne fais pas de difficulté pour ta sécurité et celle des gens présents ici.

Cependant, des partisans de Zoroastre s'approchent des gardes avec un air menaçant et attendent sa réaction.

HJ : Attention, toutes les vies des personnages présents ici sont potentiellement menacées. Ne venez pas vous plaindre si vous voulez jouer les héros que ça se passe mal.
Je vous laisse monter vos propres Rp mais je jouerais la foule avec impartialité et selon le scénario monté ( C'est à dire vos propre Rp et réactions et ce que vous ne savez pas ). Donc, tenez vous pour dit que vous pouvez risquer gros avec une foule en colère ...

A noter également que j'applique une règle ( personnelle ... ) du "hasard de la guerre" ... un caillou, une arme ou quoi que ce soit qui se jette ...
Ainsi, vous avez tous un risque très léger mais réel quand même d'être blessé ou tué par un coup malheureux. Pour info, ça se joue sur un ou deux pourcent de risque.

HJ: Tout n'est pas encore joué...! Vous, joueurs, avez encore le temps de décider de l'avenir d'Athènes!

EJ:

Le Podium d'Athènes est sur le point d'entrer dans l'Histoire comme étant le lieu attitré des débuts de révoltes dans la Cités... Mais à force de débuts, il y aura bien une fois ou cela deviendra une Révolution. Tout ceux qui ont encore un semblant d'esprit lucide se posent la question fatidique: sont-ils en train de vivre cette fameuse Révolution ?! Nul ne le sait encore... Du moins pour l'instant!

Dans les derniers instants, tout est allé très vite... L'appel a l'insurrection de Zoroastre a créé un réel remout dans la foule, qui s'en est retrouvée encore plus divisée qu'avant... à moins qu'au contraire une unité générale commence peu à peu à apparaître... même si ce n'est pas forcément pour les mêmes raisons. En effet, les nouveaux discours de citoyens influents, appartenant à d'autres groupes d'intérêts, ont a leur tour commencé à interpeler les citoyen au plus profond d'eux-mêmes...

Mais avec l'arrivée de l'archonte éponyme Hippocrate, tout prend un tournant décisif; On en arrive même à une situation quelque peu absurde: la personne qui a été democratiquement elue par la democratie empêche à un citoyen d'user de ses droits démocratiques de s'exprimer à cause du danger que cela représente pour la démocratie! Si la situation n'avait été aussi dramatique, la foule aurait pu en rire! Mais plus encore, la foule qui a été excitée par les orateurs ne réfléchit désormais plus; elle suit son coeur, et ses sentiments qui ont été le plus touchés: en l'occurence, leur liberté et leur démocratie.

Etrangement, la foule ne semble donc pas soutenir l'archonte éponyme, néanmoins ce dernier a ses partisans...

Les gardes ne savent toujours pas trop quoi faire, et commencent sérieusement à avoir peur... La foule est sur le point de devenir incontrôlable... Un groupe d'homme est déjà parti en direction de la Boulê, un autre en direction de l'Acropole... Nul ne sait ce qu'il va se passer ensuite!

HJ: En tant que joueur, vous pouvez décider de tenter de calmer la foule ou au contraire de l'exciter encore plus sur le podium, ou de suivre un des groupes... Mais faites très attention à toutes vos actions, cela peut avoir des répercutions importantes!

Zoroastre toise les gardes venus l'arrêter. Il constate qu'ils sont très peu assurés et que leur demande est un peu faiblarde... Il les regarde de toute sa hauteur, plus celle du podium, et leur lance, d'une voix sépulcrale...

Vous, qui venez m'arrêter, vous faites partie du peuple d'Athènes, et vous portez la main contre vos frères? Vous obéissez à un jeune homme inexpérimenté, qui, saisi par la peur, en oublie le plus élémentaie bon sens, et la plus élémentaire conscience de la liberté?

Hé bien, arrêtez moi. Mais que votre nom soit alors maudit sur des générations pour avoir agit contre la voix d'un homme qui n'était pas seul et qui pourrait bien avoir raison! Qu'il soit maudit pour avoir servi le régime de la peur et de la faiblesse, et non celui où vous, vos frères, vos fils pourront enfin régner! Qu'il soit maudit pour avoir imposé la volonté, ou plutôt la PEUR d'un homme à tout un groupe qui le vaut mille fois et qui ne veut que la justice! Et votre devoir est de servir la justice... Pas de la soumettre!


Il fixe les gardes, qui sont entourés par ses sympathisants un peu mécontents.. Son sourire a disparu, il est grave et digne, mais sa voix recèle une certaine alacrité qui montre bien à quel point il est bouillant sous son masque...

La tentative d'arrestation de Zoroastre crée de nouveaux remous sur le podium... Surtout que ce fait n'a pas échappé aux partisans de Zoroastre, qui deviennent dès lors déchaînés:

- QUOI?! Mais c'est une plaisanterie?!?! Depuis quand les gardiens de la Justice se font-ils arrêter pour leurs opinions politiques?!

- Et depuis quand défendre la démocratie est-il une atteinte à l'ordre public?!

- CITOYENS! TRAHISONNNN! A BAS LES TYRANS!!!

- PEUPLE D'ATHENES, LAISSERAS-TU TON DEFENSEUR ETRE MIS EN PRISON POUR AVOIR VOULU TE DEFENDRE?!

- Regardez, Zoroastre avait bel et bien raison! Notre démocratie n'est plus que de façade à Athènes! Tous ceux qui veulent la défendre dans son état le plus pur, tel Zoroastre, se font emprisonner?! Comment pouvez-vous tolérer cela!

- LIBERTE! Ce mot vous dit-il encore quelque chose?!

- NOUS sommes le pouvoir, pas notre Etat! Suivons Zoroastre, lui saura comment faire pour le remettre dans le droit chemin!

- Par Zeus, croyez-vous que nous laisserons faire de telles inepties?! Et bien si vous voulez arrêter Zoroastre, il faudra m'arrêter moi aussi!

- ET MOI AUSSI!

- NON! IL FAUDRA TOUS NOUS ARRÊTER!

- Et bien moi il faudra passer par dessus mon cadavre!

Les partisans de Zoroastre commencent à affluer en direction du podium et encerclent les gardes. Quelques uns barrent le chemin entre les gardes et Zoroastre. La foule est encore plus excitée qu'auparavant... Les partisans de Zoroastre l'acclament:

- VIVE ZOROASTRE! DEFENSEUR DE NOTRE DEMOCRATIE!

- Oui, lui au moins a eu le courage de nous défendre!

- Il nous a ouvert les yeux!

- Maintenant, Zoroastre, que devons-nous faire?! Nous devons à tout prix redonner le pouvoir à celui qui le mérite: le Peuple!

- Oui!!! Mais pour cela, il faut tout d'abord rallier tout le monde à la cause de la démocratie! ET LA VRAIE DEMOCRATIE! PAS LA DICTATURE DE LA BOULÊ!

- Dans ce cas, allons à la Boulê et encerclons la!

- Non, allons plutôt à l'Ecclesia, et décidons de démettre la Boulê de ses fonctions!

- Allons dans toute la ville et empêchons les ennemis de la démocratie de nous faire taire!

Et les gardes ne savent que faire... Ils attendent leurs ordres, mais ne peuvent arrêter Zoroastre sans se frayer un passage à coups de pique dans la masse de ses partisans... De plus, ils se trouvent en infériorité numérique... Ils ne savent que faire...

Il y a de plus en plus de monde qui afflue sur l'Agora, car la rumeur s'est déjà répandue sur la ville que des choses importantes sont en train de s'y passer... Des renforts pour les partisans des défendeurs de la démocratie, de même que de nouveaux groupes d'intérêts, qui vont décider par opportunisme de se mettre d'un côté ou de l'autre de la foule, et de la pousser à devenir encore plus conformiste aux événements. Néanmoins les partisans de Zoroastre commencent à devenir majoritaires...

Mes frères écoutés la voix de la raison, écoutez vos coeurs et agissez selon vos principes.

Allons tous a l,ecclesia faire entendre vos voix, je vous propose 24 heure de séance ou tous pourront parler et faire entendre leurs opinions, nous pouront décider de juger ou non tous citoyens qui aurais mal agis, et nous pourront faire tombé légalement la boulé.

Comment voulez vous qu'on se souviennt de vous? Comme des rebelles? NOn moi je dit qu'il faut qu'on se souviennes de vous comme des révolutionnaires, allez suivez moi a l,ecclesia!

De leur côté, les partisans des institutions qui suivent notamment Artos et Pirus, ne restent pas les bras croisés ...
Certains sont déja partis rameutés du monde pour les soutenir et d'autres s'en prennent à Zoroastre en l'accusant de Trahison. Enfin, d'autres encore se préparent au combat

- Zoroastre est un traître à la démocratie athénienne ! Il bafoue les lois et nos traditions !

- Jamais le peuple ne démettra la Boulé de ses fonctions, la Boulé c'est aussi le peuple !

- Les Dieux défendront la Boulé, les bouleutes ont été élus par les Dieux !

- Mort à Zoroastre ! Pendez le !

- Ecorchez le vif, ce vil traître sans foi ni loi ! Il ne mérite pas d'être athénien !

- Ostracisez le ! Vive notre archonte Eponyme et vive nos bouleutes !

Les partisans des institutions se sont légèrement rapprochés des émeutiers ... Ils sont toujours aussi belliqueux

Aux partisans de Zoroastre se joignent désormais les partisans d'Ajax, moins nombreux et d'un groupe d'intérêt différent, mais qu'importe, leur but semblant etre commun! Les partisants d'Ajax crient donc:

- OUI; VIVE AJAX!

- Allons à l'Ecclesia, mais allons à la Boulê, pour convier les bouleutes à assister à leur destitution!

- Mais non, allons à la Boulê, que la garde de la Cité se joigne a nous, et nous évacuerons la Boulê en escortant les bouleutes jusqu'à l'Ecclesia!

- Mais alors, pourquoi n'arrêterions-nous pas les bouleutes?! Ils sont indignes de leur tâches, et ont tous eu un comportement anti-démocratique!

- OUI, condamnons la boulê dans son ensemble pour avoir enfreint la loi sur le renforcement de la démocratie, pour avoir abusé de ses pouvoirs et avoir eu un comportement anti-démocratique!

- Oui, et organisons de nouvelles élections! Réorganisons notre démocratie pour qu'elle redevienne ce qu'elle devrait être, comme à son commencement!

- Allons, suivons Ajax!

...

HJ: en réponse à Hippocrate, on peut quand même facilement deviner tes ordres en voyant comment se comportent les gardes.

Ej: ça commence à chauffer...tout autour de lui, des discours anti-démocratiques et particulièrement anti-boulê sont échangés...voilà qui risque de mal tourner pour sa pomme si rien n'est fait. Solon s'éloigne des groupes qui semblent les plus radicaux, où des reflets d'épées commencent à sortir des tuniques, et va à proximité des gardes. Il n'y a plus grand chose à faire, dans l'état où est la foule, aucun discours ne peut plus inverser les choses, les partisans sont trop échauffés. Seule l'armée peut encore empêcher un drame.
Mais quand bien même, que se passera-t-il ensuite? Comment continuer à vivre en faisant semblant d'ignorer un tel évenement, montrant à quel point les citoyens se désinteressent et sont même hostiles au régime? S'il y a quelque chose de certain, c'est bien qu'Athènes vient de connaître un des tournants désicifs de son histoire. En bien ou en mal, les prochaines heures le diront.
Pour sa part, Solon reste près de plusieurs soldats. Il n'a aucune arme pour se défendre, mais il compte bien ne pas partir avant la fin.

HJ: j'aimerais savoir cmment se proportionne les différents groupes de partisans présent au podium

EJ:

Allez suivez moi mes frères, allons tous a l'ecclesia et montrons l'exemple en agissant démocratiquement, je suis certain que les bouleutes viendront bien assez vites, venez tous, ne laissons pas notre ville adoré dans ce chaos, règlons le problème une fois pour toutes et ne répétons pas les erreurs du passé, pour la grandeur d'Athène venez faire de votre cité la plus grande non pas de l'attique mais de toutes la grèce, allons renforcer nos fondations!

Ajax descends de l'estrade et et va vers l'ecclesia

Hj : Répartition :

Côté Ajax et Zoroastre : environ 650

Côté Pirus, Artos et Hippocrate : environ 250

Gardes : environ 50

D'autres groupes convergent vers le podium et des échauffourés semblent éclater plus bas, dans les quartiers.

Ajax se dirige vers l'Ecclésia mais des partisans des institutions se pressent pour lui barrer le passage. Ils le regardent d'un air menaçant et certains l'insultent ou l'interpelle

- Traître aux institutions ! Tu ne passeras pas !

- Nous vivants, jamais tu n'iras à l'Ecclésia ni à la Boulé. Les lois sont avec nous !

- Cesses donc de trahir Athènes, stratège Ajax et rentres dans le rang !

Et bien quand vous me trouverez un lois que j'ai enfrain vous me jugerez à l'Hélié, mais pour le moment je n'ai enfrain aucune loi je n'ai fait qu'invité le peuple à participer à l'ecclesia et si vous m'empĉher d'exercer mon droit de citoyen de participer a l'ecclesia vous me vboyez peiné mais je deverais dégainer l'épée contre vous!

Ajax porte la main a l'épée et semble soudainement très agressifs

Zoroastre lui souffle

Ajax, reste calme.

Il se retourne ensuite vers le côté ou se trouvent la majorité de ses partisans; au cours de son discours, il effectue des rotations, afin de s'adresser à tous les côtés de la foule au moins une fois. Il adopte la position traditionelle des orateurs, à un détail près : il l'inverse... Zoroastre est gaucher. Il module sa voix de manière à ce quelle soit suffisament grave pour couvrir le tumulte, mais son visage est calme; il essaie d'avoir le moins possible l'air de hurler. Il attend un très court moment de répit entre deux salves de cris pour lancer son discours par une apostrophe qui capte l'attention...

Vous, Athéniens qui voulez sauvegarder dans sa pureté pleine et entière la démocratie, autant en tant que régime qu’en tant qu’idée, autant en tant qu’application qu’en tant que principe, ne cédez pas à la violence physique !

Mais, bien au contraire, laissez libre au cours à la violence de vos sentiments et de vos paroles ! Déchaînez le bouillonnement qui a été attisé en vous par les abus d’une bureaucratie apathique, lâche et sans foi !

Ne réclamez donc pas que l’on pende les bouleutes – mais réclamez bien au contraire qu’ils vivent, qu’ils soient libres pour assister à leur propre confusion et au triomphe final de l’idéal sans taches ! Ne faites pas de notre révolution un lynchage – faites en une marche triomphale vers la liberté de parole !

C’est ainsi, Athéniens qui êtes fidèles à notre idéal, et qui êtes prêt à le défendre corps et âmes, que je vous déclare : ne marchons pas sur l’Ecclésia, mais marchons vers l’Ecclésia ! Nous y entrerons calme, soutenu par la force de notre nombre et la pureté de notre conscience ! Nous y entrerons sans brandir nos armes, mais en relevant la tête ! Nous ne devons pas nous imposer par une force impie et injuste, comme viennent de le tenter les représentants terrifiés de l’anti-démocratie, en voulant faire taire par les plus radicales méthodes une voix qui ne fait qu’exprimer ce qu’elle croit, ce qu’elle sait être, au plus profond d’elle-même, la vérité, la seule vérité !

Même les rivalités politiques, même les rivalités d’opinion les plus pugnaces se dissipent lorsque nous sommes ensemble réunit dans la foi en un même idéal – il n’est un secret pour personne qu’Ajax est moi n’avons jamais partagé les mêmes opinions quant à l’administration de la cité ; mais il est désormais évident que nous partageons la même vision de la démocratie, et surtout la même dégoût de l’apathie quiétiste de la lenteur institutionnelle et bureaucratique qui prend Athènes à la gorge !

Croyez moi, citoyens… Certains d’entre vous furent peut-être ennemis à l’Ecclésia, au podium. Certains d’entre vous se sont peut-être livrés de dures luttes dialectiques sur les gradins de la Boulê ; certains d’entre vous nourrissent peut-être des querelles qui durent depuis des générations… Je ne vous demande pas d’oublier ces querelles, je ne vous demande pas d’effacer vos opinions politique ou de soudain aimer votre ennemi d’hier ; je vous demande de passer outre vos querelles devant la gloire et la nécessité d’établir ici, à Athènes, la démocratie réelle ! Je vous demande d’oublier quelques jours vos luttes d’antan afin de travailler ensemble à un même édifice, sans faille, qui s’élève enfin vers la grandeur qu’il mérite !

Pour bâtir cet édifice, nous nous devons d’être les plus calmes possible ; nous nous devons d’être des voix claires et nettes, certes habitées par la colère et l’enthousiasme, mais qui sachent se faire entendre sans paraître les voix de fous ; nous devons terroriser les adversaires de la démocratie – nos adversaires – par la justesse de nos vues et la puissance de nos arguments, et non pas par le tonnerre de nos voix ou l’éclair de nos poignards ! Je professe aujourd’hui la violence ; mais une violence qui soit une sage-femme bienveillante aux idées les plus hautes, les plus justes, et surtout les plus grandes ! Je professe aujourd’hui une violence qui soit la sagesse d’une nouvelle démocratie !

Les anciens nous ont ouvert la voie ; eux ont usé de la violence pour défaire des Rois, implantés depuis des siècles. Mais nous, nous n’avons pas la même mission ; nous ne devons pas renverser un régime, nous devons le purifier ! Et le sang des ennemis, malheureusement, n’a jamais fait qu’empourprer les sillons et asphyxier le grain : jamais il n’a fait mieux pousser les blé. Par contre, la défaite des ennemis dans une assemblée unie et solidaire contre eux, mais indulgente, de cette indulgence que donne la supériorité et la grandeur des vues, cette défaite est comme une pluie bienfaisante sur des Terres que la négligence d’un mauvais exploitant a laissé dessécher… Je vous le répète, nous ne sommes pas ici pour massacrer nos frères, nous sommes ici pour les faire rentrer dans le chemin que nous savons tous être le meilleur et le plus pur !

Mais maintenant, il n’est plus temps de discourir sur la place ; Athéniens qui êtes fidèles à l’idéal Démocratique, je vous le dis : suivez nous à l’Ecclésia, et ouvrons, de notre propre chef, dans ce bâtiment qui est l’histoire même de notre démocratie, la séance la plus mémorable et la plus déterminante de son histoire !

Je conclurai donc par un cri :

Il hausse la voix

A l’Ecclésia !

Les partisans des institutions dégainent à leur tour les armes en réponse au geste d'Ajax, ils ne semblent pas impressionnés par son acte.

- Tu es bouffi d'ambition Ajax, tu ne mérites pas d'être athénien !

- Tu seras mort avec de dégainer, pauvre fou !

- Voila que tu te fais le chien de Zoroastre après avoir été le bouffon de Cleitos ?!

- On ne peut pas démettre la Boulé de ses fonctions, c'est anti-démocratique !

- Tu mets Athènes en danger avec tes discours, Ajax ! Reviens à la raison

Citoyen tous autant que vous etes ne vous en prenez pas au clergé ni a la Boule. Les dieux les ont choisi , vous en rappellez vous ?

Vous rappellez vous aussi de Irtamene ? Vous savez tous comment il a fini pour avoir osé s'interposé contre Zeus.

Ecouté la voix de la raison. Arreté cette mascarade. Vous le savez tous tres bien que tout ceci ne servira rien et surtout une guerre. Vous voulez savoir pourquoi ajax la veut cette guerre?
Parce que tout simplement lors de la conquete de l'attique contre les forces marathoniennes et la prise de spherros il n'a absolument rien ressus. Et vous savez pourquoi il n'a rien recu parce qu'il s'est totalement debiné et est partie s'isolé dans les bois. En voila une belle reussite !!
Cette homme ne veut la guerre que pour l'argent qu'elle represente en butin et autre. Vous colons partis pour sounion, vous qui avez été battu sous ses yeux vous en souvenez vous ? Et cette individu ose parlé de democratie alors qu'il aidait les aristos sous les yeux du peuple en les aidant a prendre des terres qui ne leur appartenait pas !!

Zoroastre parlons en de la boule que tu a dirigé pres de 2 ans et pourtant tu ne t'en plaignait pas a l'epoque. Je te croyais quelqu'un de bon sens et bien finalement tu ne vaut gere mieux que Alcibiade qui lui au moins avait fait quelque chose pour cette cité autre chose que de beau discours planqué dans cette cité. Moi j'y ais donné mes oreilles a cette cité et bien plus encore. je ne crois pas que tu sois capable d'en dire autant. Et ta pseudo guerre si tu veux aller l'accomplir vas-y on pourra alors voir ta magnifique maitrise de l'art militaire.

Vous voulez aller voté et bien allons y mais il y aura un prix a tout ceci soyez en sur et je m'opposerais toujours a cette guerre clamer par ces deux individus irresponsables.

Artos invite elegament la foule a se dirigé vers l'ecclesia avec un grand sourire a Ajax. Un grand sourire carnassié.

hj:

On continue dans ecclesia interieur ?

Edit hj

HJ :

Bon, petite remarque. Comme on est des Mj facétieux, Athéna et moi on s'est partagé la foule et quelques autres choses; Athéna gère la foule du côté de Zoroastre et Ajax et moi celle du côté d'Artos, Pirus et Hippocrate notamment.
Donc, parce que je suis fair play avec Athéna, je ne fais pas réagir ma foule maintenant, je lui en laisse la primeur de son côté

Un rictus se forme aux paroles d'Artos

Ton ignorance me surprend à chaque fois Artos, je pourrais te coller un procès pour diffamation avec ce que tu viens de dire, il est triste que tu mente pour te rendre plus fort, le mensonge est l'arme des faible à ce qu'on dis.

Premièrement il est vrai que j'étais dans les bois mais à ce moment je me repentais et me dédiait entièrement à ma chère Déesse Artémis, et deuxièement tu ne peux pas dire que je n'étais pas présent à la guerre car j'ai participer à la grande bataille, je commandais une unité d'ailleurs, et ensuite j'ai été chargé de la défense d'Athène durant la guerre, et j'ai accomplie mon travail car personne na attaque Athene n'est-ce pas?

AUssi à SOunion quand j'y suis arrivé il n'y avais pas de colon donc personne na été battu par moi ou sous mes yeux.



Et vous qui m'accusé d'être anti-démocratique, nommé moi une loi que j'aurais enfraint dans mes actes aujourd'hui? Je pou7sse nos frères à venir a l'ecclesia, je ne leurs demande pas de pendre nos bouleutes, si Athene veux destituer nos bouleutes elle le peux, par unn votes extraordinaire et en décrétend les actuels bouleutes hors de fonctions.

Vous m'accusé d'être le chien de Zoroastre, ne vous souvenez vous pas que j'ai été le premier à ciré les abus de la boulé, leurs trop grand pouvoirs, souvent même contre Zoroastre quand il y étais.

Maintenant il ce met a crié pour que tous l'entendre aux loins

Souvenez vous tous de la définition du mot démocratie mes frères, POUVOIR ET PEUPLES, POUVOIR AUX PEUPLES, alors allons exercer notre pouvoir à l'ecclesia!